25 Chiffres et codes notoirement non résolus que vous ne pourrez pas casser

En 1885, une petite brochure a été publiée anonymement en Virginie contenant une histoire et trois messages cryptés. L'histoire a affirmé que les messages ont conduit à un trésor enterré par un nom d'homme Beale. Seul l'un des messages a été résolu.

Estimé pour être âgé d'au moins 600 ans, ce manuscrit de 232 pages est écrit dans une sorte de langage indéchiffrable. Il comporte de nombreuses photos de plantes non identifiées et des personnes dans des plomberies étranges comme des engins.

Entre 1966 et 1974, le tueur en série Zodiac a envoyé plus de 20 messages cryptés à la police. La plupart ont été fissurés mais quelques-uns restent non résolus.

En 1990, une sculpture avec 4 sections de caractères cryptés a été installée au siège de la CIA comme un défi pour les employés de l'agence. 3 sections ont été décryptées mais une quatrième n'est toujours pas résolue.

En 1897, le célèbre compositeur Edward Elgar (de renommée «Pomp and Circumstance») a envoyé un message crypté à une amie de 23 ans, Miss Dora Penny. À ce jour, il n'a toujours pas été résolu

Alexander d'Agapeyeff a écrit un livre élémentaire sur la cryptographie en 1939 intitulé Codes and Ciphers. Dans la première édition il a inclus un chiffre de défi. Il n'a jamais été résolu et même Alexander a admis gentiment plus tard qu'il ne savait plus comment il l'avait crypté.

En 1990, un grand nombre de tablettes d'argile datant de 1800 av. J.-C. ont été découvertes en Crète. Ils contenaient deux types différents de scripts qui ont été nommés Linear A et Linear B. Linear B a été entièrement déchiffré dans les années 1950 tandis que Linear A reste non résolu.

Une tablette d'argile circulaire d'environ six pouces de diamètre, a été découverte en Crète au début des années 1900. Avec un alphabet de 45 symboles différents, il est resté jusqu'ici non fissuré. Il y a eu des suggestions, cependant, que cela pourrait aider à déchiffrer Linear A.

En 1933, sept lingots d'or auraient été remis à un général Wang à Shanghai, en Chine. Ils contiennent des images, l'écriture chinoise ancienne, une forme d'écriture de script, et des cryptogrammes en lettres latines.

La civilisation de la vallée de l'Indus a prospéré autour de 2600 à 1800 av. J.-C. sur le sous-continent indien, laissant derrière elle des milliers d'objets inscrits avec un script pictographique qui semble avoir été composé d'environ 400 signes. Beaucoup de travail a été fait sur l'analyse des messages disponibles, mais à ce jour le script n'a toujours pas été déchiffré.

En 1987, un message a été posté sur une liste de cryptologie sur Internet, indiquant que Richard Feynman, professeur de physique à Caltech, avait reçu trois échantillons de code d'un scientifique de Los Alamos. Un seul a été résolu.

Un mécanisme de cryptage populaire utilisé par l'Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale, il y a encore des messages qui doivent encore être déchiffrés.

Un message de la Seconde Guerre mondiale non résolu qui a été trouvé attaché aux restes d'un pigeon trouvé par un homme alors qu'il nettoyait sa cheminée à Surrey, en Angleterre.

En 1868, les premiers Européens ont rapporté avoir vu des tablettes de bois sur l'île de Pâques incroyablement reculée du Pacifique Sud. Les tablettes étaient recouvertes d'un script hiéroglyphique inconnu. On pense qu'il existe seulement une vingtaine de comprimés, avec peu de progrès dans la détermination de ce qu'ils disent.

Une collection de symboles trouvés sur de nombreux objets datant de 6000 à 4500 av. J.-C. et provenant de sites du sud-est de l'Europe, en particulier de Vinča près de Belgrade. Il n'y a pas d'accord sur la question de savoir si ces symboles sont un système d'écriture.

Un script apparu vers 2900 av. J.-C. à Suse, dans le sud-ouest de la Perse (Iran moderne). Il doit encore être déchiffré et le langage qu'il représente est inconnu.

Nommé d'après la ville de Rohonc dans ce qui était alors la Hongrie occidentale, ce manuscrit écrit dans une langue inconnue est exposé à l'Académie des sciences hongroise.

Le 1er décembre 1948, un corps non identifié échoua sur une plage d'Australie du Sud. Il reste non identifié et le seul indice était un morceau de papier brouillon dans sa poche qui avait deux mots écrits dessus "taman shud", qui se traduit par "terminé" en persan. C'était une référence directe au Rubaiyat d'Omar Khayyam, un livre qui a été découvert sur le siège arrière d'une voiture déverrouillée près de la plage où il a été trouvé. Il y avait plusieurs codes numériques dans la voiture, mais ils n'ont jamais été déchiffrés.

En 1999, le corps de Ricky McCormick, âgé de 41 ans, a été trouvé en train de se décomposer dans un champ de l'est du Missouri. Il avait deux cryptiques chiffrés dans ses poches. Le FBI a demandé l'aide du public pour fendre le code en faisant appel à une foule pour trouver une solution sur Internet.

Bien qu'il ne soit plus techniquement non résolu puisque l'algorithme a depuis été publié, pendant de nombreuses années personne n'a pu décoder le code que l'auteur JF Byrne avait publié dans son autobiographie.

OUOSVAVV. Ces lettres sont sculptées dans un monument de pierre sur le terrain de Shugborough Hall dans le Staffordshire, en Angleterre. En dépit de beaucoup de spéculations, personne n'a jamais réussi à comprendre leur signification.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les alliés ont utilisé des Indiens Navajo pour des communications cryptées. Navajo est l'une des langues les plus notoirement difficiles à apprendre sur Terre avec des sons qui sont rares dans de nombreuses autres langues. De plus, le langage lui-même utilisait des mots de code qui le rendaient difficile à comprendre même pour les locuteurs natifs. Il n'a jamais été brisé et a joué un rôle crucial dans la victoire des Alliés.

Découvertes pendant la Seconde Guerre mondiale dans une cave bombardée à East London, elles montrent environ 50 symboles calligraphiques distincts. Certains spéculent qu'ils pourraient être des chiffres du maçon franc-maçonnerie du 18ème siècle.

Ce cryptologue italien du seizième siècle était responsable de nombreuses techniques encore utilisées aujourd'hui et plusieurs de ses chiffrements de «défi» n'ont pas encore été décryptés.

Sir Francis Bacon était bien connu pour créer et utiliser ce qui est maintenant connu sous le nom de Bacon Cipher dans ses œuvres littéraires. Depuis plusieurs centaines d'années, on a spéculé que Sir Bacon était en fait responsable de l'écriture des œuvres de Shakespeare et que son chiffre pouvait être trouvé dans tous les textes. Pour l'instant il n'y a pas eu de conclusion à ce sujet.